Une rentrée sous les cyberattaques en France
Diverses cibles françaises sont la cible d’attaques par déni de service. Le but est de surcharger les serveurs pour rendre inopérant ledit site WEB. Si, certains affirment ne pas avoir subi de vol de données, elles sont souvent comme le magicien, une diversion. De Reims à Nantes, jusqu’à Marseille, de nombreuses infrastructures sont touchées. Les services compétents sont à pied d’œuvre pour rétablir les services. Des cyberattaques pour obtenir de l’argent, perturber une entité ou un pays en représailles des actions ou soutiens.
La rentrée des classes s’effectue à peine, que les cyberattaques de tout type n’ont pas pris de vacances. En premier lieu, le groupe NoName057(16) affiche de nombreuses attaques de type DDoS sur des cibles françaises.
La France ciblée par NoName057(16)
Une fois de plus, les différentes entités sur l’hexagone sont victimes de cyberattaques. Les revendications vont bon train. Le site de la ville et de l’agglomération de la ville de Reims est le denier exemple en date. Elle est la réponse au soutien à l’Ukraine de la France.
Le centre régional Centre-Val-de-Loire, les sites de l’open data de Marseille et sortir à Marseille, la ville de Nice ainsi que la métropole de Nantes sont visés le lundi 2 septembre 2024 via des attaques par déni de service (DDoS). Selon la collectivité, aucune donnée n’aurait été volée. Le site est à nouveau consultable le lundi à 21 h 30.
C’est également le cas de la Préfecture de Police selon les revendications.
Un seul des sites affichés admet des difficultés encore. Le site bien pratique de la circulation en temps réel sur l’île de la Réunion.
Le lendemain, 3 septembre 2024, la ville de Reims et son agglomération sont touchés. Ils saturent le trafic pour empêcher son fonctionnement.
Le jour de la rentrée des classes, l’université de Reims Champagne-Ardenne subissait une « attaque massive de Bots ». Mais les villes de Strasbourg, Bordeaux, Le Havre, Montpellier et Lille sont épinglées.
(Crédits : capture d’écran/NoName057(16))
Aujourd’hui, le 4 septembre le groupe affilié à la Russie rends momentanément les sites des villes de Nîmes et Angers hors ligne. Celles concernant l’Autorité de régulation des transports, du ministère de la Justice, de l’ONAC semblent contenues. Seuls les sites de la direction interministérielle du numérique et de l’alerte sur les réseaux sont en dysfonctionnement.