dimanche, mars 17, 2024
International

Cyberattaque d’écoles publiques au Canada

Ce qui était décrit comme un « incident à l’échelle du réseau » plus tôt cette semaine est en fait une attaque informatique. La nature de l’attaque n’a pas encore été précisée, mais le district a confirmé qu’elle a touché un grand nombre de ses systèmes informatiques. Par prudence, l’entité pédagogique affirmait que tous les systèmes basés sur Internet, tels que le courrier électronique et d’autres outils éducatifs, étaient hors ligne.

Les comptes des différents médias sociaux, Facebook, Twitter des écoles publiques canadiennes de Regina serviront pour les communications officielles. Peu avant 11 h, jeudi 26 mai 2022, elles affirmaient qu’« après plusieurs jours d’enquête, il est apparu clairement que la division scolaire a été victime d’une attaque de cybersécurité le 22 mai 2022. » Les informations destinées aux familles des élèves seront communiquées par l’intermédiaire des écoles, affirment les autorités.

Au niveau des investigations, le district n’est pas en capacité de préciser si des données privées, élèves, enseignants, établissements… ont été exposées. Les parents et tuteurs doivent également s’attendre à recevoir des nouvelles par l’intermédiaire des écoles de leurs enfants. Le ministère de l’Éducation a déclaré qu’il était au courant de la cyberattaque et qu’il comprenait que la division des écoles publiques de Regina « prenait les mesures appropriées pour remettre le système informatique en ligne. » Tout signalement d’absence s’effectuera par voie téléphonique encouragent les écoles. « Les écoles publiques de Regina s’engagent à maintenir l’intégrité de leur infrastructure informatique et à protéger les renseignements concernant les élèves, les familles, les employés et les partenaires. »

Romuald Pena

Journaliste et curieux de nature, j’aime les mots et ce qu’ils chantent aux oreilles qui les entendent. « La vérité, c’est qu’il n’y a pas de vérité », assurait Pablo Neruda. Ainsi j’apporte des faits, des faits, encore et toujours des faits, car : « Nous ne pouvons être condamnés à pire, à juger les autres, à être des juges. » (Le Testament d’Orphée, de Jean Cocteau)

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